Aperçu hebdomadaire du marché
Semaine du 27 mars 2023
- Les marchés boursiers ont encore une fois été agités cette semaine en raison des difficultés persistantes dans le secteur bancaire et d’un durcissement de ton de la Fed. L’indice S&P 500 a clôturé en hausse de 1,4 %, car les gains dans la plupart des secteurs ont été atténués par la faiblesse des banques et des services publics.
- Pendant les épreuves du mois dernier, les services de communication, la technologie et les grandes capitalisations ont résisté le mieux. Il s’agit des secteurs du marché dont les valorisations sont généralement tributaires des taux d’intérêt (plus de précisions ci-dessous).
- Pendant ce temps, l’indice TSX a progressé de 0,6 %, et les banques, l’industrie et les services publics sont les secteurs qui ont contribué le plus à cette hausse.
Semaine du 20 mars 2023
- Les marchés boursiers ont connu une semaine volatile en raison des difficultés actuelles dans le secteur bancaire.
- L’indice S&P 500 a clôturé en hausse de 1,4 %, la forte remontée des technologies et des services de télécommunications ayant compensé une autre baisse dans le secteur des services financiers.
- La baisse des taux obligataires a alimenté les actions à bêta élevé, malgré les difficultés ailleurs. Cependant, l’indice TSX a fléchi de 2 %, car les banques et l’énergie pesaient plus lourds.
Semaine du 13 mars 2023
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine, car les problèmes du secteur bancaire ont relégué la Fed, la Banque du Canada et les données économiques au second plan.
- L’indice S&P 500 a reculé de 4,5 %, car tous les secteurs sont dans le rouge.
- Les banques ont dégringolé de 11,5 %, avec des pertes encore plus importantes dans le groupe des petites banques régionales.
Semaine du 6 mars 2023
- Les marchés boursiers ont rebondi cette semaine dans un contexte de calme relatif sur le plan des données économiques et de la politique monétaire.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,9 %, grâce à la combinaison des matières premières, des services de communication et de l’industrie, tandis que les secteurs défensifs comme les biens de consommation de base, les services publics et la santé ont tiré de l’arrière.
- Les données ont en grande partie été un jeu à somme nulle cette semaine : les commandes de biens durables et les ventes de maisons en attente ont affiché de solides gains en janvier, l’indice ISM du secteur des services se maintenant bien en territoire d’expansion, mais l’indice ISM du secteur manufacturier affiche une faiblesse soutenue et les ventes d’automobiles ont reculé en février.
Semaine du 27 février 2023
- Les actions continuent d’éprouver des difficultés en raison de la perspective selon laquelle les taux d’intérêt resteront élevés plus longtemps. L’indice S&P 500 a reculé de 2,7 % cette semaine; il est soudainement en baisse de 5 % par rapport au sommet de février.
- Tous les secteurs, sauf celui de l’énergie, ont inscrit un rendement négatif, la consommation discrétionnaire et les télécommunications tirant de l’arrière.
- Pendant ce temps, l’indice S&P/TSX a cédé 1,4 % pour ainsi mieux résister, grâce à un gain semblable dans le secteur de l’énergie dont la pondération était plus élevée.
Semaine du 20 février 2023
- Les marchés boursiers se sont repliés cette semaine, en raison de l’inflation persistante et du revirement des attentes quant à de nouvelles hausses de taux par la Fed.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,3 %, car l’énergie a sombré en territoire négatif.
- L’indice S&P/TSX a plongé de 0,5 %, malgré le bond des soins de santé.
Semaine du 13 février 2023
- Cette semaine, les marchés boursiers se sont repliés à cause de la faiblesse des flux de données et de la vague de porte-parole de la Fed qui ont réclamé des taux élevés tout au long de l’année.
- L’indice S&P 500 a reculé de 1,1 %, tous les secteurs, sauf l’énergie, ayant affiché des rendements négatifs.
- L’indice TSX a perdu 0,7 %, tandis que la santé a fortement reculé, en contrebalançant les gains dans les secteurs de l’énergie et des biens de consommation de base.
Semaine du 6 février 2023
- Comme prévu, la Réserve fédérale a relevé les taux de 25 pdb cette semaine; elle a réitéré que « des hausses continues dans la fourchette cible seront appropriées »; et le président Powell a tenté de parler d’autres hausses de taux et de resserrement du marché de l’emploi lors de sa conférence de presse. Mais le marché ne l’a pas cru, puisque les actifs à risque et les obligations d’État se sont fortement redressés.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,6 % au cours de la semaine et l’indice Nasdaq s’est redressé de 3,3 %, les titres à bêta élevé des secteurs des technologies et des services de communication ayant mené le bal. L’indice TSX est resté à la traîne dans ce contexte difficile, enregistrant un gain de seulement 0,2 % en raison de la chute des secteurs de l’énergie et des secteurs défensifs. Le taux des obligations du Trésor à 10 ans a chuté d’un peu plus de 10 pdb avant la publication du rapport sur l’emploi de vendredi, et même le bitcoin a grimpé après l’annonce de la Fed.
- Pour le dire autrement : Si la Fed est préoccupée par l’assouplissement des conditions financières alors que la lutte contre l’inflation est toujours en cours, elle a fait un pas en arrière cette semaine.
Semaine du 30 janvier 2023
- Transportés par l’espoir d’un atterrissage en douceur de l’économie, les marchés boursiers se sont redressés cette semaine.
- L’indice S&P 500 a progressé de 2,5 %; la consommation discrétionnaire, les banques et la technologie ont mené le bal. Les titres défensifs (c.-à-d. les produits de base et les soins de santé) ont tiré de l’arrière, ce qui s’inscrit dans la suite logique du retour des actifs plus risqués sur l’ensemble du marché au cours des dernières semaines. Pour l’année, l’indice S&P 500 a gagné tranquillement 6 % et le Nasdaq a bondi de 11 %.
- Pour sa part, l’indice S&P/TSX a progressé de 1,0 %. Les technologies, la santé et les services financiers ont enregistré des rendements nettement supérieurs. Les secteurs sensibles aux taux d’intérêt (en particulier les FPI) ont bondi de 10 % depuis le début de l’année. La hausse de 25 pdb et l’annonce d’une pause par la Banque du Canada cette semaine ont accentué ce bond.
Semaine du 23 janvier 2023
- Les marchés boursiers ont éprouvé des difficultés cette semaine, puisque la mollesse des données économiques a attisé les inquiétudes liées au ralentissement; en outre, les États-Unis se sont heurtés au plafond de la dette, ouvrant la voie à des mois de manchettes et de négociations, pendant lesquels des mesures de financement extraordinaires sont utilisées.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,7 %, les secteurs de l’industrie, des services publics et des biens de consommation de base tirant de l’arrière.
- L’indice TSX a progressé de 0,7 %, surpassant les secteurs de l’énergie et des technologies, qui sont en hausse, et affichant de bien meilleurs résultats dans le reste du spectre.
Semaine du 16 janvier 2023
- Les marchés boursiers se sont redressés à l’aube de 2023, donnant l’espoir que les jours sombres de 2022 soient chose du passé du point de vue des cours des actifs.
- N’oubliez pas que l’année dernière a été historiquement mauvaise pour les investisseurs de la plupart des profils de risque. L’indice S&P 500 a reculé de plus de 19 %; le rendement total des obligations du Trésor à 10 ans a été de -16,4 %; et le rendement combiné du portefeuille 60/40 de ces deux actifs a été le pire rendement total depuis au moins 1970.
- Nous n’avons tout simplement jamais vu une année où les deux volets du marché étaient en même temps à la baisse, et encore moins si fortement pénalisés.
Semaine du 19 décembre 2023
- Les marchés boursiers se sont repliés cette semaine parce que la Réserve fédérale américaine s’est montrée ferme et qu’un IPC à la baisse n’a pas suffi pour déclencher une remontée soutenue.
- L’indice S&P 500 a reculé de 2,1 %. Tous les secteurs, sauf l’énergie, ont affiché des rendements négatifs. La consommation discrétionnaire et la technologie ont tiré de l’arrière, comme elles l’ont fait pendant la majeure partie de l’année.
- L’indice S&P/TSX a cédé 2,5 %, et des baisses ont été enregistrées dans tous les secteurs.
Semaine du 12 décembre 2022
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine, parallèlement à la publication d’une série de données économiques de moindre importance, à un autre recul des prix du pétrole et au relèvement du taux directeur de la Banque du Canada.
- L’indice S&P 500 a chuté de 3,4 %, tous les secteurs ayant affiché des rendements négatifs. L’énergie, les banques et les télécommunications ont enregistré les pires rendements.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 2,6 %, un étonnant rendement supérieur au cours d’une semaine où les prix du pétrole se sont fortement repliés. Les actions du secteur de l’énergie ont fléchi de 5,8 % au Canada et dégringolé de 8,4 % aux États-Unis. Certains secteurs sensibles aux taux d’intérêt ont relativement bien résisté.
Semaine du 5 décembre 2022
- Les marchés boursiers ont fluctué légèrement cette semaine, malgré une grande volatilité, notamment une forte remontée (ce qui peut sembler curieux) à la suite d’un discours du président de la Fed, Jerome Powell.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,1 % lorsque tout s’est terminé et l’indice S&P/TSX a enregistré un gain de 0,5 %.
- Les banques canadiennes ont publié des résultats contrastés. Le secteur a été à la traîne durant la semaine, reculant de 1,0 %, malgré quelques hausses substantielles des dividendes.
Semaine du 28 novembre 2022
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,5 %, principalement grâce aux secteurs des services publics, des matières premières et des services financiers.
- Les titres sensibles aux taux d’intérêt ont progressé parallèlement à une autre baisse des taux des obligations du Trésor à 10 ans, qui ont perdu 15 pdb.
- Pendant ce temps, l’indice TSX a progressé de 2,0 %, et tous les secteurs, sauf celui de la santé, ont profité des gains.
Semaine du 21 novembre 2022
- Les marchés boursiers ont glissé cette semaine, en perdant un peu d’élan après la poussée qui a suivi l’IPC.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,7 %, la consommation discrétionnaire, les banques et l’énergie ayant tiré de l’arrière.
- L’indice TSX a baissé de 0,6% après avoir atteint exactement sa moyenne mobile sur 200 jours.
Semaine du 14 novembre 2022
- Les marchés boursiers se sont fortement redressés la semaine dernière, car l’IPC plus faible que prévu aux États-Unis était exactement ce dont le marché avait besoin.
- L’indice S&P 500 et le Nasdaq ont bondi de 5,9 % et de 8,1 % respectivement.
- Malgré les nombreux événements d’actualité, notamment les élections de mi-mandat et l’implosion du marché des cryptomonnaies, l’inflation a été la clé pour les actions.
Semaine du 7 novembre 2022
- L’indice S&P 500 a clôturé la semaine en baisse de 3,3 % par rapport à vendredi dernier et enregistré une forte remontée au cours de la seconde moitié d’octobre.
- Sur le plan sectoriel, le secteur de l’énergie a dominé les quelques secteurs qui ont réussi à rester en territoire positif, mais ces résultats ont été largement contrebalancés les fortes baisses des télécommunications, des technologies et de la consommation discrétionnaire.
- L’indice S&P/TSX s’est également replié, mais dans une moindre mesure, en perdant 0,1 % par rapport à la clôture vendredi dernier. Il a été soutenu en partie par le regain de vigueur des prix du pétrole (le WTI a bondi au-dessus de 92 $ pour la première fois en un mois environ) et par la mise à jour budgétaire automnale modérément positive du gouvernement.
Semaine du 31 octobre 2022
- Les marchés boursiers se sont encore redressés cette semaine. La baisse des taux obligataires à long terme a contrebalancé les bénéfices très contrastés.
- L’indice S&P 500 a bondi de 4,0 %, grâce à un ensemble de titres des secteurs des produits industriels, de la consommation courante et des services financiers. Tous les autres secteurs, sauf celui des télécommunications, ont réussi à enregistrer des gains.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 3,2 %, les technologies ayant bondi de plus de 8 % durant la semaine.
Semaine du 24 octobre 2022
- Dans l’ensemble, les marchés ont continué d’être malmenés cette semaine en raison de l’inflation et des perspectives de resserrement des banques centrales, mais ils se sont redressés à la fin de la semaine à la suite de discussions de certains dirigeants de la Réserve fédérale à propos d’une pause éventuelle.
- L’indice S&P 500 a inscrit une progression de 4,7 % après une forte remontée vendredi et l’indice S&P/TSX a enregistré une augmentation de 2,9 %.
Semaine du 17 octobre 2022
- Les marchés boursiers ont dû faire face à une autre semaine de volatilité, en plus de l’incertitude persistante au Royaume-Uni et d’un autre rapport indiquant que l’inflation s’enracine aux États-Unis.
- L’indice S&P 500 a fléchi de 1,6 %. Les gains enregistrés dans les secteurs des banques et des biens de consommation de base ont été inférieurs aux pertes subies dans les secteurs de la consommation discrétionnaire et de la technologie.
- Plombé par des reculs de plus de 3 % dans l’énergie et les matières premières, l’indice S&P/TSX a cédé 1,4 %.
Semaine du 10 octobre 2022
- Les marchés boursiers ont connu une semaine volatile. Après un démarrage en trombe, ils ont fini par succomber à la réalité d’un autre durcissement de ton de la Fed et de la hausse des prix du pétrole.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,5 % lorsque tout s’est terminé, tandis que le TSX a enregistré un gain de 0,8 %. Le secteur de l’énergie a dominé des deux côtés de la frontière.
- Les actions du secteur se sont fortement redressées au cours de la semaine et ont progressé de 9 % au Canada et de 14 % aux États-Unis, mais cette progression a été très négative pour presque tous les autres secteurs aux prises avec l’inflation.
Semaine du 3 octobre 2022
- Les marchés ont connu une autre semaine mouvementée – le ton ferme de la Fed la semaine dernière a fait grimper les taux de rendement et baisser les actions, tandis qu’une crise a éclaté au Royaume-Uni.
- Les événements ont servi de rappels brutaux quant à l’orientation de la politique budgétaire et la tarification des actifs.
Semaine du 26 septembre 2022
- Les marchés boursiers ont encore reculé cette semaine, la Réserve fédérale a conservé un ton très ferme, les risques de récession ont continué de croître et les tensions géopolitiques ont pesé sur l’humeur des investisseurs.
- L’indice S&P 500 a reculé de 4,6 % et est maintenant proche du creux établi en juin. Tous les secteurs ont été dans le rouge, les secteurs de l’énergie, de la consommation discrétionnaire et des banques ayant été les plus durement touchés.
- Par ailleurs, l’indice TSX a reculé de 4,7 % au cours de la semaine, les actions du secteur de l’énergie piquant du nez et le prix du baril de WTI passant sous la barre des 80 $.
Semaine du 19 septembre 2022
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine et l’inflation de base devrait entraîner une autre hausse démesurée des taux de la Fed la semaine prochaine.
- L’indice S&P 500 a cédé 4,8 %, avec d’importants reculs dans tous les secteurs, y compris des baisses de plus de 6 % dans les secteurs des technologies, de l’industrie, des télécommunications et des matières premières.
- Pendant ce temps, l’indice TSX a reculé de 2,0 %, soutenu par les baisses moins prononcées des secteurs de l’énergie et des banques.
Semaine du 12 septembre 2022
- Les marchés boursiers se sont fortement redressés cette semaine et ont clôturé trois semaines de suite dans le rouge, malgré une vague de déclarations et d’actions fermes de la part des banques centrales.
- L’indice S&P 500 a augmenté de 3,6 %, grâce aux solides gains réalisés dans la consommation discrétionnaire, les banques et les matières premières, tandis que l’énergie a tiré de l’arrière.
- Par ailleurs, l’indice TSX a progressé de 2,6 %, car les gains généralisés l’ont emporté sur un recul de 0,6 % dans le secteur de l’énergie, les prix du pétrole ayant clôturé la semaine relativement stables.
Semaine du 5 septembre 2022
- Les actions se sont repliées cette semaine sous l’effet de la douche froide jetée par le président de la Fed, Jerome Powell, à Jackson Hole.
- L’indice S&P 500 a reculé de 3,3 %, les technologies et les matières premières enregistrant les plus fortes baisses, suivies de près par l’industrie. Tous les autres secteurs étaient également en territoire négatif cette semaine.
- Pendant ce temps, le TSX a cédé 3,0 %, les matières premières et l’énergie tirant de l’arrière en raison de la baisse des prix du pétrole. Seule la consommation courante a affiché un gain dans une semaine qui s’est avérée défensive.
Semaine du 29 août 2022
- Après avoir atteint un sommet de quatre mois le 16 août, l’indice S&P 500 a rapidement perdu de son élan dans un contexte d’intense volatilité et a clôturé la semaine en baisse de 4,0 %.
- Pendant ce temps, le Nasdaq à forte teneur technologique a reculé de 4,4 %, tandis que le Dow a terminé en perdant 4,2 %.
Semaine du 22 août 2022
- La progression des marchés boursiers s’est essoufflée cette semaine en raison d’un ensemble varié d’indicateurs économiques. L’indice S&P 500 a progressé de 0,1 % à la fin de la journée vendredi, avec un rendement sectoriel contrasté.
- Dans l’intervalle, l’indice S&P/TSX a progressé de 0,4 %. Les reculs enregistrés dans les secteurs des technologies et des matières premières ont atténué les gains réalisés ailleurs. Les données économiques ont reculé assez uniformément : la diminution des demandes de prestations d’assurance-chômage et la vigueur de la production industrielle d’une part ont été atténuées par la baisse des ventes de logements et de la construction et la stagnation des ventes au détail d’autre part.
- À la fin de cette semaine, l’indice S&P 500 est en hausse de 16 % par rapport à son creux de la mi-juin. Examinons donc ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.
Semaine du 15 août 2022
- Les marchés boursiers ont progressé cette semaine, profitant d’un certain soulagement à la suite de l’annonce d’un indice des prix à la consommation (IPC) plus faible que prévu en juillet.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,5 % en raison de gains exceptionnels dans les secteurs de l’énergie et des banques.
- Par ailleurs, l’indice S&P/TSX a progressé de 1,9 %, la remontée des prix du pétrole WTI ayant fait grimper le secteur de l’énergie de 4,3 % au cours de la semaine.
Semaine du 8 août 2022
- Les marchés boursiers ont été contrastés cette semaine, tandis que la reprise suivant le FOMC s’est maintenue la semaine dernière, mais ils ont fini par se heurter à la réalité de la poursuite du resserrement.
- Au bout du compte, l’indice S&P 500 a progressé de 0,4 % et il est maintenant en baisse de 13 % depuis le début de l’année, après un solide rebond par rapport aux creux de juin.
- Les secteurs de la consommation discrétionnaire, des technologies et des services de télécommunication ont inscrit des gains modestes, tandis que le secteur de l’énergie a perdu près de 7 % et que les prix du WTI ont chuté à moins de 88 $ à un certain moment. Il ne faut pas négliger l’importance des prix du pétrole ici, la faiblesse contribuant grandement au contexte d’inflation, et les actions non énergétiques se sont redressées à chaque baisse des prix.
Semaine du 1 août 2022
- Les marchés boursiers se sont redressés cette semaine, malgré un deuxième recul trimestriel consécutif du PIB réel des États-Unis et une augmentation démesurée des taux de 75 pdb par la Réserve fédérale.
- Pour les marchés qui ont été soumis à de fortes pressions cette année, surtout à cause de la hausse des taux et de l’affaiblissement de la croissance, cela pourrait sembler, à juste titre, un peu contre-intuitif.
Semaine du 25 juillet 2022
- Les marchés boursiers se sont redressés cette semaine parce qu’ils avaient l’impression que la tension inflationniste était à la baisse.
- L’indice S&P 500 a progressé de 2,5 % pour atteindre le niveau impressionnant de 4 000, grâce aux solides gains réalisés dans les secteurs de la consommation discrétionnaire, de l’industrie et des technologies. L’indice S&P/TSX a progressé de 3,2 % étant donné que les banques ont rebondi de plus de 4 %.
- Les pressions inflationnistes aiguës s’approchent peut-être d’un sommet, mais elles semblent avoir des conséquences, car les données économiques, de l’habitation à l’activité régionale de la Fed, ont été médiocres dans l’ensemble. En conséquence, les taux des obligations du Trésor à 10 ans ont chuté à moins de 2,8 %, accentuant l’inversion de la courbe des taux avec les obligations à 2 ans.
Semaine du 18 juillet 2022
- Les actions ont chuté cette semaine par suite de la publication des principales données sur l’inflation aux États-Unis et d’une hausse de taux encore plus importante que prévu par la Banque du Canada.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,9 %. Les secteurs de l’énergie et des télécommunications ont affiché des rendements négatifs. L’indice a donc reculé de 18,9 % pour l’année. Tous les secteurs sauf celui de l’énergie étaient en territoire négatif.
- L’indice S&P/TSX a fléchi de 3,3 %. Les banques ont perdu près de 6 % durant la semaine et 15,6 % pour l’année. Une inversion de la courbe des taux et un ralentissement de l’activité dans le secteur de l’habitation n’ont pas aidé. Il faut souligner que l’indice S&P/TSX a été à la traîne de l’indice S&P 500 au cours des trois derniers mois, car les opérations imputables à l’inflation se sont en partie dénouées.
Semaine du 11 juillet 2022
- Les marchés boursiers ont rebondi cette semaine grâce à un certain soulagement ressenti du côté des taux obligataires et au sentiment que l’inflation pourrait être à un sommet, même si nous sommes encore loin de naviguer en eaux calmes.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,6 % en milieu de journée vendredi, grâce aux solides gains réalisés dans les secteurs de la consommation discrétionnaire, des technologies et des services de télécommunication, des segments du marché qui ont tous été en difficulté au cours des derniers mois. L’énergie, les services publics et les matières premières ont tous tiré de l’arrière.
- Par ailleurs, l’indice S&P/TSX a progressé de 0,8 % et a soudainement accusé du retard par rapport à l’indice S&P 500 ces derniers mois. Bien que les secteurs de la santé, des technologies et de la consommation aient été solides, les ventes massives de titres énergétiques ont pesé lourdement sur l’indice.
Semaine du 4 juillet 2022
- Voici quelques points simples, mais importants à souligner alors que nous entamons le deuxième semestre de l’année :
- L’indice S&P 500 a glissé en territoire baissier, reculant de plus de 20 % par rapport à son cours de clôture le plus élevé.
- Le ratio cours-bénéfice prévisionnel de l’indice S&P 500 a reculé juste en dessous de 16, soit une compression de 6 points depuis l’automne dernier.
- Jusqu’à présent, les prévisions de bénéfices sont restées fermes : actuellement, on prévoit une croissance des bénéfices de l’indice S&P 500 en 2022 d’un peu moins de 10 %, comparativement à environ 9 % en début d’année.
Semaine du 27 juin 2022
- Les marchés boursiers ont rebondi cette semaine, le recul des rendements obligataires et des prix du pétrole ayant stimulé la confiance.
- Le S&P 500 a bondi de 6,4 %, tous les secteurs, sauf celui de l’énergie, affichant de solides gains. La consommation discrétionnaire et le secteur de la technologie, sous forte pression pendant une grande partie de l’année, ont affiché des gains dépassant 7 %.
- Le rendement des obligations du Trésor américain à 10 ans ont reculé à un peu plus de 3 % à un moment cette semaine, contre 3,5 % il y a 10 jours. Le marché commence à sentir que le resserrement à court terme de la Réserve fédérale cédera sa place à un éventuel assouplissement à mesure que l’économie s’affaiblit. Entre-temps, le WTI a terminé la semaine à 108 $, en baisse par rapport à plus de 120 $ au début du mois.
Semaine du 20 juin 2022
- La dure réalité d’un resserrement rapide de la politique monétaire s’est poursuivie cette semaine; les marchés boursiers se sont repliés et la Réserve fédérale a décrété la plus importante hausse de taux depuis 1994.
- L’indice S&P 500 a reculé de 5,1 %. Tous les secteurs se sont retrouvés en territoire négatif et l’indice général a officiellement franchi le seuil des marchés baissiers.
- L’indice S&P/TSX a fléchi de 2,5 % et tous les groupes ont affiché des déclins semblables.
Semaine du 13 juin 2022
- Les marchés boursiers se sont repliés cette semaine, et c’est la même situation qui se répète : l’inflation persiste et les banques centrales doivent la combattre.
- L’indice S&P 500 a reculé de 5,1 %, et les banques, les technologies et la consommation discrétionnaire ont enregistré de fortes baisses.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 2,5 %. La santé a reculé de plus de 10 % et tous les autres secteurs ont affiché un rendement négatif.
Semaine du 6 juin 2022
- Les marchés boursiers ont évolué en dents de scie cette semaine. Le resserrement extrême du marché de l’emploi et la persistance de l’inflation ont fait reculer les actions vendredi.
- L’indice S&P 500 a fléchi de 1,2 % au cours de la semaine, et les secteurs de la santé et des services financiers ont tiré de l’arrière.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 0,2 %, grâce à de solides gains dans les secteurs de l’énergie, de l’industrie et de la consommation courante.
Semaine du 30 mai 2022
- Les marchés boursiers ont rebondi cette semaine en raison du recul des taux d’intérêt à long terme et de la publication de données rassurantes sur les bénéfices.
- L’indice S&P 500 a grimpé de 6,6 %; les banques, l’énergie, les technologies et la consommation discrétionnaire ont enregistré des gains substantiels. Les données économiques ont été plutôt ternes, ce qui a contribué à la baisse des taux de rendement. Le taux des obligations du Trésor à 10 ans clôt la semaine à 2,75 %, en baisse de près de 40 pdb par rapport au sommet atteint au début de mai. Comme le taux des obligations à 2 ans a également fléchi pour se fixer à 2,47 %, la courbe des taux des obligations à 2 ans et à 10 ans demeure positive, à 28 pdb.
- Les actions et le marché obligataire semblent encore réfléchir à l’évolution de la présente période d’inflation et de resserrement au-delà de cette année et à la question de savoir si le rajustement des valorisations parallèlement au relèvement des taux observé jusqu’à maintenant du côté des actions se traduira aussi par un recul des bénéfices? Le temps nous le dira.
Semaine du 23 mai 2022
- Les marchés boursiers ont continué de se replier cette semaine, et la situation n’a pas vraiment changé concernant l’inflation persistante, le resserrement de la politique monétaire et le ralentissement de la croissance.
- L’indice S&P 500 a reculé de 3,0 % au cours de la semaine et le Nasdaq a encore cédé 3,8 %.
- Les actions canadiennes ont cependant tenu le coup : l’indice S&P/TSX a gagné 0,5 %. Cette performance supérieure est en grande partie attribuable à une moins grande exposition au marché des titres de consommation, qui a été malmené cette semaine et, de fait, à une moins grande faiblesse. Par conséquent, la réévaluation des cours se poursuit.
Semaine du 16 mai 2022
- Les marchés boursiers ont encore une fois éprouvé des difficultés cette semaine, sans aucun signe d’apaisement sur les plans de l’inflation et de la politique monétaire.
- Le Nasdaq est bien engagé en territoire baissier puisqu’il a cédé près de 30 % par rapport à son sommet à un moment donné. L’indice S&P 500 flirte avec ce territoire car il a enregistré un recul de 18 % avant une remontée vendredi. L’indice S&P/TSX, qui est beaucoup plus robuste, a même glissé en zone de correction quand il a perdu 10,8 %, avant de rebondir pour clore la semaine.
Semaine du 9 mai 2022
- Cette semaine, les marchés boursiers ont encore une fois reculé lors de séances marquées par la volatilité alors que la Réserve fédérale relevait les taux de 50 pdb et indiquait clairement que de nouvelles hausses semblables sont à venir.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,2 %, compte tenu de certains soubresauts dus à la réunion de la Fed. Les actions canadiennes ont reculé de 0,6 %. Les actions du Nasdaq ont perdu 1,5 %, mais elles avaient enregistré un recul de 5 % jeudi.
- La réalité du resserrement de la politique monétaire et de la réduction des liquidités semble maintenant s’être répercutée sur les investisseurs en actions.
Semaine du 2 mai 2022
- Les marchés boursiers ont connu une semaine mouvementée : les bénéfices des sociétés, le resserrement de la politique monétaire et le ralentissement de la croissance se sont combinés pour entraîner les marchés à la baiss.
- L’indice S&P 500 a perdu 3,3 %. Clôturant sous les creux de la mi-mars, il a semblé en difficulté. La consommation discrétionnaire et les banques ont enregistré les reculs les plus importants durant la semaine. L’indice est maintenant en baisse de 1,9 % par rapport aux niveaux d’il y a un an et de 13,3 % en 2022.
- L’indice S&P/TSX est sorti de l’ombre également. Il a enregistré une baisse de 2 % pour la semaine, car un certain nombre de titres qui se sont bien comportés ont éprouvé aussi soudainement des difficultés. Les actions canadiennes sont toujours en hausse de 7,8 % par rapport à il y a un an, mais elles sont en baisse de 2,2 % en 2022.
Semaine du 25 avril 2022
- Les marchés boursiers ont encore reculé cette semaine, et la situation demeure la même : une inflation élevée persistante, le durcissement de ton des autorités de la politique monétaire et une autre hausse des taux d’intérêt à long terme.
- L’indice S&P 500 a reculé de 2,8 %. Seuls les secteurs des biens de consommation de base et des banques ont affiché des rendements positifs.
- La Bourse de Toronto a reculé de 3,1 %, notamment en raison du recul marqué des secteurs des technologies et des matières premières et des ventes massives dans le secteur des banques à la fin de la semaine. Les actions canadiennes ne sont plus en territoire positif pour l’année.
Semaine du 18 avril 2022
- L’indice S&P 500 a fléchi de 2,4 %. Les gains dans les secteurs de l’énergie et des matières premières ont compensé les pertes dans les secteurs des technologies, des télécommunications et des banques.
- La période de publication des résultats s’amorce. Et, cette fois-ci, elle revêt une importance particulière parce que les valorisations sont actuellement mises à l’épreuve par les hausses de taux d’intérêt.
- Dans l’intervalle, l’indice S&P/TSX a gagné 0,1 %, grâce à une lourde pondération de l’énergie et des matières premières.
Semaine du 11 avril 2022
- Les marchés boursiers ont éprouvé des difficultés cette semaine, en raison des nouvelles rumeurs de resserrement monétaire et de la hausse des taux obligataires.
- L’indice S&P 500 a reculé de 1,3 %. Les secteurs des technologies et de la consommation discrétionnaire ont affiché les pires résultats. Les secteurs défensifs, tout comme l’énergie, ont repris de la vigueur.
- L’indice S&P/TSX a chuté de 0,4 %. La remontée des secteurs de la consommation courante, de l’énergie et des télécommunications a compensé les reculs des banques, des technologies et de l’industrie.
Semaine du 4 avril 2022
- Les marchés boursiers ont été contrastés cette semaine, clôturant un trimestre très volatil, principalement en territoire négatif.
- L’indice S&P 500 a progressé de 0,1 %. Les banques ont cédé plus de 6 % durant la semaine et les secteurs de l’énergie, de l’industrie et des matières premières ont aussi reculé. Les piliers défensifs (services publics, biens de consommation de base et soins de santé) ont toutefois inscrit des gains. Au premier trimestre, l’indice a inscrit un recul de 4,6 % sur 12 mois, mais il a tout de même progressé de 13 % par rapport à son niveau d’il y a un an.
- L’indice S&P/TSX a cédé 0,2 % cette semaine, mais il a fait bonne figure tout au long du trimestre. Il affiche encore une avance de 3,4 % en 2022.
Semaine du 28 mars 2022
- Les marchés boursiers ont poursuivi leur remontée cette semaine, malgré le ton plus ferme des banques centrales, qui ont martelé que les hausses de taux seront importantes.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,8 %, grâce à un bond de 7,4 % dans l’énergie et à des gains dans tous les autres secteurs, sauf celui de la santé.
- L’indice S&P/TSX a gagné 0,9 %. Le repli des banques et des technologies a freiné l’indice canadien.
Semaine du 21 mars 2022
- Les marchés boursiers se sont fortement redressés cette semaine, malgré l’incertitude géopolitique persistante et un durcissement de ton encore plus marqué de la part de la Réserve fédérale.
- L’indice S&P 500 a grimpé de 6,2 %, grâce à un rebond de plus de 7 % dans les secteurs des services financiers, de la consommation discrétionnaire et des technologies. L’indice est revenu à sa moyenne mobile sur 200 jours, si bien que la semaine prochaine pourrait être un test technique.
- L’indice S&P/TSX a affiché une progression beaucoup plus modeste, qui a atteint 1,7 % au cours de la semaine. Il ne faut pas oublier que les actions canadiennes se sont très bien comportées puisque l’indice a clôturé la semaine à un sommet record.
Semaine du 14 mars 2022
- Les marchés boursiers ont connu une autre semaine mouvementée, notamment une montée en flèche des prix du pétrole sous l’effet de l’incertitude persistante en Ukraine.
- L’indice S&P 500 a reculé de 2,9 %, tous les secteurs, sauf l’énergie, ont affiché des rendements négatifs.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 0,3 %, un autre gain sur le plan du rendement relatif. Les gains dans les matières premières, l’énergie et les services publics ont compensé la faiblesse des rendements presque dans tous les autres secteurs.
Semaine du 7 mars 2022
- Les marchés boursiers ont continué d’être volatils cette semaine en raison de l’incertitude géopolitique et du resserrement de la politique monétaire.
- L’indice S&P 500 a chuté de 1,6 % à la fin de la journée vendredi. La vigueur des secteurs de l’énergie et des services publics a compensé en partie le recul marqué des technologies et des banques. Le marché continue de faire piètre figure, l’indice se maintenant sous ses moyennes sur 50 et 200 jours, et un croisement se profile à l’horizon.
- Fondamentalement, l’incertitude géopolitique, l’inflation, le resserrement de la politique monétaire et l’aplatissement de la courbe des taux tracent un portrait plutôt sombre. Cela dit, divers paramètres de mesure de la confiance des investisseurs donnent maintenant une lecture pessimiste que l’on observe généralement autour des creux de correction, ce qui est habituellement une condition nécessaire (mais non suffisante) pour trouver un moment tournant.
Semaine du 28 février 2022
- L’invasion de l’Ukraine par la Russie s’est avérée être un autre coup dur pour un marché boursier qui était déjà aux prises avec des pressions inflationnistes persistantes et l’imminence d’un cycle de resserrement monétaire.
- L’indice S&P 500 a toutefois clôturé la semaine en hausse de 0,8 %, après des fluctuations intrajournalières spectaculaires, mais il a tout de même reculé de 8 % sur l’année.
- Les titres défensifs ont mené le bal cette semaine, alors que les banques et la consommation ont tiré de l’arrière. L’indice Nasdaq a encore plus fortement fluctué pour terminer en hausse de 1,1 %, tandis que l’indice TSX a progressé de 0,5 %.
Semaine du 21 février 2022
- Les marchés boursiers ont connu une autre semaine mouvementée en raison des nouvelles données sur l’inflation en Amérique du Nord, qui laissent entrevoir des hausses de taux, et des craintes quant à une possible invasion de l’Ukraine par la Russie.
- L’indice S&P 500 a clôturé la semaine en baisse de 1,6 %. Les biens de consommation de base ont été le seul secteur ayant inscrit une progression. Entre-temps, l’indice S&P/TSX a chuté de 2,5 %, l’un des pires rendements de la semaine, mais il est demeuré bien au-dessus de sa moyenne mobile sur 200 jours.
- L’aplatissement de la courbe des taux a fait craindre une récession; même si l’écart entre les taux des obligations à 2 ans et à 10 ans s’est resserré ce mois-ci, nous tenons à souligner qu’à environ 50 points de base, il est actuellement inférieur aux creux de lundi.
- L’or s’est redressé cette semaine, mais il a reculé par rapport aux sommets précédents. Le pétrole a clôturé une semaine volatile en hausse de 2 % pour s’établir à environ 91,70 $.
Semaine du 14 février 2022
- Les marchés boursiers ont été agités cette semaine. Le marché se préparait aux hausses de taux de la Réserve fédérale et s’inquiétait des rumeurs d’invasion de l’Ukraine par la Russie.
- L’indice S&P 500 avait perdu 1,7 % à la fin de la journée vendredi. Les gains des banques, des matières premières et de l’énergie ont été neutralisés par la faiblesse de la plupart des autres groupes.
- L’indice S&P/TSX s’est mieux comporté et a inscrit une hausse de 1,2 % pour la semaine. De façon générale, les services financiers ont été soutenus par la forte remontée des taux des obligations du Trésor américain à 10 ans cette semaine, qui ont dépassé les 2 % pour la première fois depuis 2019. L’or et le pétrole se sont redressés.
Semaine du 7 février 2022
- Les marchés boursiers sont toujours aux prises avec le cycle de resserrement à l’horizon et la persistance de l’inflation.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,5 % pendant une semaine agitée, notamment en raison des ventes massives liées aux bénéfices, tandis que le TSX a progressé de 2,6 %.
- Le changement abrupt des politiques et les sommets, inédits depuis plusieurs décennies, atteints par l’inflation sont des pilules difficiles à avaler, mais le marché semble réagir à peu près comme il le devrait jusqu’à présent.
Semaine du 31 janvier 2022
- Les actions américaines ont cassé une période de baisse de trois semaines après une remontée herculéenne à la fin de vendredi, l’indice S&P progressant de 0,8 %.
- Au Canada, la Bourse de Toronto a également sorti la tête hors de l’eau vendredi, en progressant de 0,6 %.
- La vigueur de l’énergie, des biens de consommation de base et des télécommunications a compensé la faiblesse de la santé et des matières premières.
Semaine du 24 janvier 2022
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine, en raison de l’agitation provoquée par le resserrement attendu de la Fed.
- L’indice S&P 500 a reculé de 5,7 %, tous les secteurs étant dans le rouge.
- Par ailleurs, le TSX, qui est moins exposé aux secteurs les plus dynamiques du marché, a de nouveau inscrit un « rendement supérieur », avec une baisse plus modeste de 3,4 %.
Semaine du 17 janvier 2022
- Cette semaine, les marchés boursiers ont éprouvé des difficultés à cause de l’important durcissement de ton de la Réserve fédérale.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,3 %, la vigueur de l’énergie ayant été contrebalancée par des baisses dans la plupart des autres groupes.
- Le TSX a inscrit un rendement supérieur de 1,3 %, grâce au rebond des prix du pétrole et à un autre mouvement haussier dans le secteur, de concert avec les banques.
Semaine du 10 janvier 2022
- Cette semaine, les marchés boursiers ont trébuché en raison du durcissement de ton de la Réserve fédérale américaine, tandis que les données économiques continuent de laisser entrevoir une forte croissance et un resserrement du marché de l’emploi.
- L’indice S&P 500 a reculé de 1,8 % tard vendredi, mais le Nasdaq, très performant, s’est plus fortement replié de 4,1 %.
- Le TSX a reculé d’un peu plus de 1 %, puisqu’il a été soutenu par la vigueur des secteurs de l’énergie et des banques.
Semaine du 20 décembre 2021
2021 : Une Odyssée haussière
- Les marchés boursiers ont fait face à de multiples vagues de COVID-19, à des sommets de plusieurs décennies en matière d’inflation et à un changement abrupt des perspectives en matière de politique monétaire. Pourtant, grâce à la très forte demande, à la solidité des bénéfices et à une certaine expansion des valorisations, les marchés boursiers ont progressé.
- Les actions ont surfé sur la vague d’inflation généralisée des prix des actifs en 2021, l’indice S&P 500 ayant augmenté d’un confortable 23 % sur l’année.
- Cette année, le secteur de l’énergie a été le plus performant des deux côtés de la frontière, progressant de plus de 40 % aux États-Unis jusqu’à maintenant, et de près de 40 % au Canada.
- Conformément au thème pratiquement généralisé en 2021, le rendement relatif des petites et des grandes entreprises a presque été neutre cette année.
- À ce stade-ci, la courbe des taux s’est quelque peu aplatie, mais elle est encore assez accentuée pour laisser entendre que la Fed peut facilement relever son taux encore trois fois sans trop de problèmes. C’est peut-être la raison pour laquelle les actions ont fait fi de l’adoption cette semaine par la Fed d’un ton plus ferme pour clôturer 2021.
Semaine du 13 décembre 2021
- L’indice S&P 500 a terminé la semaine sur un solide 3,8 %, en revenant sur le terrain du record, après un bref et petit recul de 4 % qui, ces jours-ci, pourrait être qualifié de correction.
- Tous les secteurs ont enregistré des gains, celui de la technologie étant en tête de peloton avec une hausse de 6 % sur la semaine.
- Par ailleurs, l’indice TSX a ajouté un gain plus modeste de 1,2 % et a dorénavant pris un net retard ces derniers mois.
Semaine du 6 décembre 2021
- Cette semaine, les marchés boursiers ont fait du surplace, puisqu’ils tentaient de concilier les perturbations éventuelles de la croissance par le variant Omicron avec la réalisation croissante que la politique monétaire de la Fed est chose du passé.
- L’indice S&P 500 a chuté de 1,2 %, mais a réussi une forte remontée plus tard dans la semaine, lorsque l’humeur des investisseurs s’est stabilisée.
- Il est à noter que, malgré la baisse des dernières semaines, les actions ont à peine bougé, puisque l’indice S&P 500 n’a reculé que de 3,5 %
net par rapport à son sommet record. Au cours de cette période, la faiblesse s’est concentrée dans les secteurs des services de communication, de l’énergie
et des matières premières, tandis que les services publics se sont bien comportés.
Semaine du 29 Novembre 2021
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine, en incluant la dégringolade de vendredi qui est due à la faiblesse des négociations pendant le congé de la fête de Thanksgiving et qui aura pour effet de refroidir les esprits.
- L’indice S&P 500 a perdu 2,2 % pendant la semaine et l’a terminé sur un recul de 2,3 % dans une journée de négociation écourtée, vendredi. Les secteurs de la consommation discrétionnaire, des télécommunications et des technologies ont tous reculé de plus de 3 %, alors que l’énergie a été le seul secteur à conserver un gain malgré la baisse du prix du pétrole à la fin de la semaine.
- Le TSX a reculé de 1,9 %, tard vendredi, tous les secteurs étant dans le rouge, et les marchés européens ont baissé de plus de 5 %.
Semaine du 15 Novembre 2021
- Les marchés boursiers ont affiché des résultats contrastés cette semaine, car l’inflation élevée continue de préoccuper les investisseurs.
- L’indice S&P 500 a reculé de 0,3 %, la baisse de 3,2 % de la consommation discrétionnaire ayant pesé sur ses résultats; les secteurs de l’énergie et des services publics ont aussi éprouvé des difficultés.
- Le TSX a inscrit un rendement supérieur durant la semaine, inscrivant un solide rendement de 1,5 % grâce à la nette remontée des secteurs des soins de santé, des technologies et des matières premières.
Semaine du 8 Novembre 2021
- Les marchés boursiers ont progressé cette semaine, les données économiques étant demeurées solides et la Réserve fédérale américaine ayant répondu en grande partie aux attentes du marché.
- L’indice S&P 500 a progressé de 2,0 %, principalement grâce à la consommation discrétionnaire et aux technologies, tandis que les banques et les soins de santé ont tiré de l’arrière.
- Tous les grands secteurs ont affiché des gains, les actions des secteurs de la consommation (de base et discrétionnaire) ayant mené le bal.
Semaine du 1 Novembre 2021
- Les marchés boursiers ont progressé cette semaine dans l’ensemble, ceux-ci ayant manifestement fait fi de l’inflation, de la croissance économique décevante ainsi que des rumeurs à l’égard d’une réduction imminente des mesures d’assouplissement et de hausses de taux.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,3 %, principalement grâce à la consommation discrétionnaire et aux télécommunications, tandis que les banques ont tiré de l’arrière.
- Le TSX a reculé de 0,8 %, la plupart des secteurs s’étant repliés au cours de la semaine.
Semaine du 25 octobre 2021
- Les marchés boursiers ont progressé cette semaine, effaçant rapidement l’effet négatif de la mini-correction qui a duré une bonne partie du mois de septembre.
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,6 %, principalement grâce aux secteurs des banques et des soins de santé. L’indice a cumulé sans faire de bruit des gains quotidiens pendant sept jours consécutifs avant de baisser vendredi, retournant à des niveaux record.
- Par ailleurs, le TSX a progressé de 1,4 % au cours de la semaine, grâce à un bond de 5 % dans le secteur de l’industrie. Les actions canadiennes n’ont reculé qu’au cours d’une journée ce mois-ci, alors que nous entamons la dernière semaine de négociation. Jusqu’à présent, la meilleure partie du calendrier ne semble se résumer qu’à cela.
Semaine du 18 octobre 2021
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,8 %. Les craintes inflationnistes se sont apaisées, tandis que les bénéfices des sociétés ont connu un excellent départ, ce qui a stimulé les actifs à risque. Les actions des technologies ont connu leur plus forte remontée après un mois de septembre difficile et ont le plus contribué aux gains, tandis que les services financiers ont eu une semaine solide, les banques ayant enregistré des bénéfices records dans les services bancaires d’investissement.
- L’indice S&P/TSX a bondi de 2,5 %. Les prix des ressources ont contribué à la hausse de l’indice large, le prix du pétrole brut (WTI) ayant atteint son plus haut niveau depuis 2014, franchissant la barre du 80 $ le baril. Tous les secteurs ont été positifs, tandis que les actions des banques ont dépassé leurs équivalents américains, malgré un recul des taux à long terme.
- L’indice européen STOXX 600 a gagné 2,7 %, l’indice japonais Nikkei 225 a bondi de 3,6 %, et l’indice chinois CSI 300 a enregistré un rendement modéré de 0,3 %.
Semaine du 11 octobre 2021
- Les marchés boursiers ont rebondi cette semaine alors que les inquiétudes suscitées par le plafond de la dette se sont dissipées temporairement et que les données économiques étaient généralement solides.
- L’indice S&P 500 a progressé de 0,8 % pour la semaine, les secteurs de l’énergie et des banques ayant mené le bal. Les titres défensifs ont tiré de l’arrière, tout comme les titres technologiques.
- Au-delà des secteurs, les titres de valeur ont commencé à se relever par rapport aux titres de croissance, lesquels ont connu une forte remontée au cours de l’été.
- L’indice S&P/TSX a monté de 1,3 %, grâce à un bond de 3,5 % des actions du secteur de l’énergie , le WTI ayant franchi la barre des 80 $ à un certain moment.
Semaine du 4 octobre 2021
- Les marchés boursiers ont reculé cette semaine, en raison des pressions inflationnistes persistantes, des risques liés au plafond de la dette et de la baisse de confiance générale des marchés.
- L’indice S&P 500 a reculé de 2,2 % au cours de la semaine, en raison d’ une baisse des secteurs de la santé et de la technologie.
- Le TSX a perdu 1,2 %, la chute de près de 7 % du secteur des titres.
- L’indice européen STOXX 600 a gagné 0,3 %, l’indice japonais Nikkei 225 a reculé de 0,8 %, et l’indice chinois CSI 300 a baissé de 0,1 %.
Semaine du 27 septembre 2021
- L’indice S&P 500 a progressé de 0,5 %. Une fois de plus, les actions du secteur de l’énergie ont mené le bal en raison de la vigueur des prix du pétrole, tandis que l’accentuation de la courbe des taux a également stimulé les titres bancaires, au détriment des secteurs défensifs et sensibles aux taux, comme les services publics et l’immobilier.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 0,4 %. Le secteur de l’énergie a été le plus vigoureux, tandis que le secteur des services financiers, très important, a également enregistré un modeste gain, les banques ayant réagi favorablement à la hausse des taux. Cependant, la faiblesse des secteurs des matières premières et des technologies s’est avérée trop importante pour être contrebalancée, alors que l’ensemble du marché souffrait un troisième recul hebdomadaire.
- L’indice européen STOXX 600 a gagné 0,3 %, l’indice japonais Nikkei 225 a reculé de 0,8 %, et l’indice chinois CSI 300 a baissé de 0,1 %.
Semaine du 20 septembre 2021
- L’indice S&P 500 a perdu 0,6 %. Les actions du secteur de l’énergie se sont redressées en raison de la faiblesse des stocks de pétrole brut aux États-Unis, tandis que celles de la consommation discrétionnaire ont également réussi à rester dans le vert grâce aux titres liés aux voyages. Tous les autres secteurs ont inscrit un rendement négatif, les secteurs de l’industrie, des services publics et des matières premières ayant été les moins performants. En août, les données sur l’inflation ont ralenti et ont été inférieures aux prévisions, après une hausse des prix pendant la plus grande partie de l’année.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 0,7 %. Le secteur de l’énergie a réussi à rester positif, tandis que celui de l’immobilier se maintenait aussi et poursuivait une excellente année. Le secteur des matières premières a fortement contribué aux pertes parce qu’il s’appuie sur des métaux précieux en baisse, tandis que les ventes massives d’épiceries et d’entreprises du secteur de l’alimentation ont nui au secteur des biens de consommation de base.
- L’indice européen STOXX 600 a perdu 1 %, l’indice japonais Nikkei 225 a progressé de 0,4 %, et l’indice chinois CSI 300 a reculé de 3,1 %.
Semaine du 13 septembre 2021
- L’indice S&P 500 a perdu 1,7 %. Tous les secteurs ont inscrit un rendement négatif lors de la courte semaine de négociation, car les inquiétudes liées à la croissance et à l’inflation ont miné la confiance sur le marché. L’immobilier a été à la traîne de l’ensemble des secteurs étant donné que les investisseurs y ont encaissé des profits. Cela dit, il mène toujours le bal depuis le début de l’année, tandis que le secteur des technologies est celui qui a le plus nui aux rendements hebdomadaires en raison de sa taille.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 0,9 %. Les actions canadiennes ont également fait l’objet de ventes massives, et ce, même si le secteur de l’énergie est notamment parvenu à rester en territoire positif. L’important secteur des services financiers a subi quelques pertes, ce qui a aidé le TSX à surpasser son homologue américain malgré le recul des secteurs des matières premières et de l’industrie.
- L’indice européen STOXX 600 a perdu 1,2 %, l’indice japonais Nikkei 225 a grimpé de 4,3 % et l’indice chinois CSI 300 s’est redressé de 3,5 %.
Semaine du 6 septembre 2021
- L’indice S&P 500 a progressé de 0,6 %. Les secteurs défensifs comme l’immobilier, les services publics et les biens de consommation de base ont été parmi les plus performants, les données sur l’emploi du département du Travail ayant déçu. La faiblesse des données sur l’emploi a également donné aux investisseurs l’assurance que la Fed retarderait la réduction de ses achats d’actifs, ce qui a stimulé les titres technologiques.
- L’indice S&P/TSX s’est redressé de 0,9 %, établissant un nouveau record malgré la publication de données sur le PIB à la baisse. Le raffermissement des prix des ressources a stimulé le huard, ainsi que les secteurs de l’énergie et des matières premières. Les actions du secteur de l’immobilier ont poursuivi leur forte progression, tandis que le secteur des services financiers a été le plus à la traîne en raison du recul des titres bancaires.
- L’indice européen STOXX 600 a perdu 0,1 %, l’indice japonais Nikkei 225 s’est envolé de 5,4 %, et l’indice chinois CSI 300 a grimpé de 0,3 %.
Semaine du 30 août 2021
- L’indice S&P 500 a progressé de 1,5 %. Tous les yeux étaient rivés sur la Réserve fédérale, dont le président Jerome Powell n’a montré que peu d’empressement à relever les taux dans son discours de Jackson Hole. Les actifs à risque se sont envolés : les titres technologiques et ceux liés à l’Internet ont bondi alors que l’indice composé Nasdaq atteignait de nouveaux sommets, tandis que les secteurs défensifs comme l’immobilier, les biens de consommation de base et les services publics ont tous reculé.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 1,5 %. Les secteurs des produits de base ont contribué au rendement, les matières premières et l’énergie faisant partie des chefs de file; l’énergie a profité d’une hausse de 10 % des prix du pétrole WTI. Trillium Therapeutics a également fait les manchettes en grimpant de 180 % et en stimulant le secteur de la santé, après la nouvelle de son acquisition par Pfizer dans le cadre d’un accord de 2,26 milliards de dollars américains.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 1,5 %. Les secteurs des produits de base ont contribué au rendement, les matières premières et l’énergie faisant partie des chefs de file; l’énergie a profité d’une hausse de 10 % des prix du pétrole WTI. Trillium Therapeutics a également fait les manchettes en grimpant de 180 % et en stimulant le secteur de la santé, après la nouvelle de son acquisition par Pfizer dans le cadre d’un accord de 2,26 milliards de dollars américains.
Semaine du 23 août 2021
- L’indice S&P 500 a perdu 0,6 % pendant une semaine d’aversion pour le risque. Les secteurs sensibles à l’économie, comme l’énergie, les matières premières et les services financiers ont été les plus touchés, alors que la propagation du variant Delta continue de baisser les prix des matières premières. Les secteurs défensifs comme les services publics, l’immobilier et les biens de consommation de base ont mené le bal, alors que le secteur le plus important, la technologie, a réussi à enregistrer un petit gain grâce à Microsoft et Nvidia.
- L’indice S&P/TSX a reculé de 0,9 %. Sa dépendance aux secteurs des produits de base lui a nui puisque l’énergie et les matières premières ont chuté en même temps que les prix du pétrole et des métaux précieux, alors que le huard s’est largement déprécié face au dollar américain. Les services financiers sont restés stables malgré des rendements plus faibles, les grandes banques ayant tenu bon face à leurs concurrentes américaines.
- L’indice européen STOXX 600 a reflué de 1,5 %, l’indice japonais Nikkei 225 a reculé de 3,5 %, et l’indice chinois CSI 300 a perdu 3,6 %.
Semaine du 16 août 2021
- L’indice S&P 500 a progressé de 0,7 % pour atteindre un nouveau sommet. Le secteur de l’énergie a été le seul à perdre du terrain, car les perspectives relatives à la demande de pétrole demeurent incertaines compte tenu de la hausse des cas de COVID-19. Le secteur des services financiers a poursuivi sa progression, et est désormais celui qui affiche le meilleur rendement depuis le début de l’année et sur un an. Le rendement du secteur des technologies a été plombé par les actions du secteur des semi-conducteurs.
- L’indice S&P/TSX a progressé de 0,2 %. Les actions bénéficiaires ont mené le bal, car le secteur des services financiers s’est redressé parallèlement aux contreparties américaines. Le secteur de l’immobilier a également poursuivi sur sa belle lancée, tandis que celui de la santé a souffert de la vente massive des actions liées à la marijuana.
- L’indice européen STOXX 600 a progressé de 1,3 %, l’indice japonais Nikkei 225 a enregistré une hausse de 0,6 %, et l’indice chinois CSI 300 a réussi à inscrire un gain de 0,5 % malgré les pressions réglementaires accrues à Pékin.