
Les six questions les plus couramment posées par les clients
Brittany Baumann
Ph. D., Vice-présidente et stratège en placement, Solutions d’investissement multiactif
Lire la biographie1. Quel est le scénario haussier pour les actions?
- Sur un horizon de six à douze mois, nous entrevoyons des perspectives plus positives pour les actions en raison de la baisse de l’incertitude commerciale, de la résilience de la croissance, de l’adoption du projet de loi fiscal aux États-Unis et de possibles réductions de taux par la Réserve fédérale américaine (Fed). Il est essentiel d’atténuer l’incertitude commerciale, car les investisseurs demeurent sensibles aux guerres commerciales, mais une économie résiliente est également essentielle pour les actions en 2026.
- Les données sur la confiance des entreprises et des consommateurs ont reculé, mais la situation n’est pas encore synonyme de récession, et les indices des directeurs d’achats semblent avoir touché un creux. Le marché de l’emploi ralentira probablement en raison d’un report des embauches plutôt que de suppressions d’emplois, et nous ne voyons pas de catalyseur pour des mises à pied massives s’il n’y a pas une recrudescence des tensions commerciales.
- Plusieurs facteurs économiques permettent d’amortir les effets de ce contexte difficile : hausse importante des remboursements d’impôt des entreprises, marges bénéficiaires élevées qui avoisinent les sommets atteints pendant la pandémie et forte croissance des revenus des ménages. Les prévisions consensuelles de croissance économique aux États-Unis ont fortement baissé; les attentes sont donc basses pour les données entrantes qui pourraient surprendre positivement les investisseurs. Les prévisions de croissance pour 2025 ne s’élèvent plus qu’à 1,4 % et le bénéfice par action (BPA) futur estimé sur 12 mois est passé d’un taux d’au moins 10 % à environ 5 %.
- Les bénéfices reflèteront de plus en plus les perspectives du PIB pour 2026, qui sont également moins reluisantes selon le consensus. Nous nous attendons à ce que les perspectives économiques s’améliorent pour 2026 en raison d’une atténuation de l’incertitude commerciale et des mesures fiscales nettes découlant de la One Big Beautiful Bill Act (OBBBA) (la grande et belle loi).
- Les changements apportés à l’impôt des particuliers et les incitatifs fiscaux aux entreprises inclus dans le projet de loi fiscal auront une incidence budgétaire nette positive de 0,5 % à 0,8 % pour la période de 2026 et 2027. L’effet négatif des tarifs douaniers sur la croissance neutralise largement l’effet positif des mesures budgétaires sur cette dernière, mais les prévisions consensuelles n’en tiennent pas encore compte.
- Nous demeurons prudents à l’égard des valorisations des actions américaines, mais d’éventuelles réductions du taux directeur par la Fed, qui laisseraient le taux des fonds fédéraux près de 3 % plutôt que de 4 %, pourraient offrir une marge de manœuvre supplémentaire. Les actions canadiennes, de la zone EAEO et des marchés émergents continuent d’offrir une diversification par rapport aux valorisations élevées et à l’incertitude persistante entourant les politiques aux États-Unis.
Figure 1 : Les attentes en matière de croissance et de BPA aux États-Unis ont baissé rapidement

Sources : Bloomberg et BMO Gestion mondiale d’actifs. En date du 11 juin 2025.
2. L’or a-t-il terminé sa course?
- Nous trouvons que les hausses passées des cours de l’or sont à la fois encourageantes et prudentes. Sur ce plan, les risques de baisse découlent soit de la réduction des tensions commerciales, soit de la paix en Ukraine et au Moyen-Orient. Mis à part ces risques, les perspectives macroéconomiques sont plus importantes et devraient permettre aux facteurs favorables à l’or de demeurer en place.
- L’un des meilleurs contextes pour l’or est une inflation persistante, des taux élevés qui perdurent et la faiblesse du dollar américain, ce qui devrait se produire si les tarifs douaniers restent en vigueur et que l’économie s’en sort tant bien que mal.
- Nous restons donc prudents à l’égard de la durée des obligations, qui pourraient continuer à offrir des rendements inférieurs à ceux de l’or. Les investisseurs ne peuvent toutefois exclure des scénarios plus extrêmes comme une stagflation ou une récession, et nous nous attendons à ce que l’or offre une meilleure couverture que les obligations compte tenu des préoccupations liées aux déficits et à l’offre d’obligations du Trésor américain et des corrélations positives entre les obligations et les actions.
- L’or est maintenant le deuxième actif de réserve mondiale en importance (en anglais), surpassant l’euro en 2024. Nous nous attendons à ce que la demande des banques centrales se maintienne en raison des besoins de diversification par rapport au dollar américain ainsi que d’une nouvelle ère marquée par des risques tarifaires et géopolitiques, où le dollar américain pourrait continuer d’être utilisé comme arme économique.
- Nous continuons d’aimer l’or comme facteur de diversification et comme couverture contre l’inflation et le contexte géopolitique, financé par les titres à revenu fixe. Nous l’expliquons de façon plus détaillée dans cet article récent : Quels sont les moteurs de l’or et pourquoi les investisseurs devraient-ils en détenir?.
Figure 2 : L’or profitera d’une nouvelle dépréciation du dollar américain

Sources : Bloomberg et BMO Gestion mondiale d’actifs. En date du 11 juin 2025.
3. Dans quelle mesure la guerre commerciale s’atténuera-t-elle cette année?
- La politique commerciale est plus positive par rapport au début de l’année, où le programme commercial était vraiment négatif, et ce, grâce aux exclusions de l’ACEUM, aux accords commerciaux bilatéraux et à l’amélioration des relations entre les États-Unis et la Chine.
- Nous restons concentrés sur la fin de la guerre commerciale, qui devrait laisser de vastes barrières commerciales, lesquelles ne devraient toutefois pas être suffisamment élevées pour provoquer une récession mondiale. Nous nous rapprochons de ce scénario, car la majeure partie de l’augmentation des barrières commerciales est derrière nous.
- En date de juin, les tarifs douaniers effectifs imposés par les États-Unis ont augmenté d’environ 12 points de pourcentage, et des tarifs additionnels visant certains secteurs, pour lesquels des analyses commerciales sont en cours, pourraient faire augmenter cette moyenne de quelques points de pourcentage.
- Les négociations commerciales avec la Chine seront difficiles, mais des progrès ont tout de même été réalisés. Comme M. Trump veut conclure des ententes et qu’il est attentif à la volatilité des marchés financiers, il est raisonnable de s’attendre à une plus grande atténuation des tensions commerciales.
- Un optimisme accru à l’égard du commerce aide les secteurs cycliques et les actions américaines à se redresser même si le contexte économique demeure marqué par des coûts plus élevés et une moins grande concurrence.
Figure 3 : L’optimisme à l’égard du commerce aidera la reprise dans les secteurs cycliques

Sources : Bloomberg et BMO Gestion mondiale d’actifs. En date du 11 juin 2025.
4. Dans quelle mesure la politique budgétaire américaine pourrait-elle être défavorable en ce qui concerne les taux d’intérêt et le dollar américain?
- La dette américaine en pourcentage du PIB devrait grimper pour atteindre 120 % en 2035, en raison des taux élevés qui perdurent et de l’intérêt limité du Congrès à réduire les déficits de façon significative. Les marchés sont de plus en plus sensibles à la dynamique de l’endettement.
- Le débat tourne autour du point de bascule potentiel où l’économie américaine ne pourra plus supporter le fardeau du service de la dette. Les investisseurs demanderaient des taux de rendement plus élevés, ce qui se traduirait par une hausse des niveaux d’endettement et on assisterait alors à un cercle vicieux de hausse des taux obligataires et de baisse du dollar américain. On ne sait toujours pas si cela se produira, mais selon les estimations du modèle budgétaire de Penn Wharton et du FMI, cela prendrait un ratio dette/PIB de 160 % à 175 %, un niveau qui ne devrait pas être atteint avant plusieurs décennies.
- Pour assurer un filet de sécurité essentiel, nous nous attendons à ce que la Fed applique à nouveau des mesures d’assouplissement quantitatif et qu’elle monétise la dette publique, comme elle l’a fait dans la foulée de la crise financière de 2008.
- Il est également important de tenir compte de l’évolution des attentes et pas seulement de la trajectoire budgétaire. Au cours de la prochaine année, nous ne nous attendons pas à des changements importants aux prévisions de déficit, car les observateurs prévoient déjà qu’il représentera 6,5 % du PIB en 2026. Si l’on tient compte des revenus générés par les tarifs douaniers, l’OBBBA ne crée pas de nouveaux déficits sur un horizon de 10 ans par rapport aux politiques actuelles, pas plus qu’elle n’augmente les déficits au cours des prochaines années.
- À l’inverse, les mesures fiscales sont synonymes de déficits budgétaires de 6 % ou plus. Un choc négatif de la croissance empire les déficits, car la politique budgétaire sert de stabilisateur pour l’économie, ce qui rapproche cette dernière d’un point de bascule, car les craintes de voir la croissance nominale ralentir en raison des frais d’intérêt s’accentuent.
- En ce qui concerne les actifs à revenu fixe, nous nous attendons à ce que les obligations du Trésor américain demeurent assorties de primes positives à l’échéance ou à une rémunération pour la détention de titres de créance d’État à long terme.
- L’or demeure la meilleure valeur de refuge contre la hausse des taux de rendement aux États-Unis, la baisse du dollar américain et les points de bascule potentiels.
Figure 4 : La dette américaine est en hausse, mais demeure bien en deçà des points de bascule

Sources : Haver, FMI et Penn-Wharton, 2025.
5. Le Canada est-il déjà en récession?
- Le Canada est particulièrement exposé à une guerre commerciale aux États-Unis : l’économie est très ouverte au commerce, qui dépend fortement des États-Unis, car environ 75 % de ses exportations vont vers ce pays.
- Nous pensons qu’une récession est en cours dans le secteur manufacturier compte tenu des mises à pied continues, de la production réduite et des plans d’investissement retardés dans les secteurs de l’automobile, de l’acier et de l’aluminium. Des effets d’entraînement sont probables dans l’ensemble des secteurs du transport et du commerce de gros et de détail.
- Heureusement, les tarifs douaniers demeurent plus bas dans les segments autres que ceux des véhicules automobiles et des métaux, l’activité pétrolière est relativement indemne en raison de la dépendance des États-Unis et les services représentent une part bien plus importante de l’économie que les autres secteurs. Malgré tout, la croissance de l’emploi s’est affaiblie, le taux de chômage augmente lentement et le marché de l’habitation stagne. Nous nous attendons à ce que la Banque du Canada réduise le taux directeur en 2025, ce qui aidera les secteurs sensibles aux taux. La politique budgétaire procurera des mesures de compensation supplémentaires, car la plateforme libérale de M. Carney vise à accroître les investissements de 0,5 % du PIB cette année et de 0,8 % en 2026.
- Il n’y aura pas de récession généralisée au Canada sans un ralentissement plus important aux États-Unis. Des défis subsisteront même si le Canada évite une récession, notamment en ce qui a trait aux investissements et à la productivité des entreprises, et, en attendant que soit adopté le projet de loi fiscal aux États-Unis, ces derniers pourraient demeurer une meilleure option aux fins de placements.
- Comme les marchés s’attendent à une réduction du taux directeur d’à peine 25 points de base, les obligations canadiennes à durée élevée pourraient afficher de bons rendements jusqu’à la fin de l’année, surtout en cas de baisse des taux par la Fed.
Figure 5 : La faible croissance de l’emploi se poursuit au Canada

Sources : Haver et BMO Gestion mondiale d’actifs, 2025.
(« EERH » Enquête sur l'emploi, la rémunération et les heures de travail; « EPA » Enquête sur la population active)
6. Les prix du pétrole avoisinent-ils un creux?
- Nous pensons que le creux a été atteint s’il n’y a pas de récession aux États-Unis. La baisse passée des prix à moins de 60 $ le baril était en grande partie attribuable à l’offre, car l’OPEP a accéléré le rythme de sa production cette année dans le but de reprendre des parts de marché.
- La demande a, quant à elle, été stable malgré la guerre commerciale. Le marché pétrolier devrait rester en situation excédentaire, car l’offre de l’OPEP devrait encore augmenter au moins une fois cet été et la demande mondiale devrait rester faible.
- L’optimisme commercial pourrait faire grimper davantage les prix, mais les tensions au Moyen-Orient constituent un risque de hausse plus important. Les perturbations de l’offre iranienne pourraient faire grimper les prix du pétrole dans une fourchette de 90 $ à 100 $ le baril. Il pourrait toutefois s’agir d’une hausse temporaire, qui serait moins préjudiciable aux perspectives économiques mondiales.
- Depuis le début de l’année, les actions du secteur de l’énergie se sont moins bien comportées et constituent une couverture intéressante non seulement contre les risques géopolitiques, mais aussi contre une reflation plus généralisée si l’économie se redresse plus rapidement ou si le prix des matières premières subit un choc.
Figure 6 : Les actions du secteur de l’énergie constituent une couverture intéressante contre le risque de reflation

Sources : Bloomberg et BMO Gestion mondiale d’actifs. En date du 11 juin 2025.
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