Passer au contenu principal

Comment parler des titres à revenu fixe à vos clients

Deux des principaux experts en titres à revenu fixe actifs et passifs de BMO Gestion mondiale d’actifs (BMO GMA) discutent ici du passé, du présent et de l’avenir du marché des obligations.

Novembre 2023

Earl Davis

CFA, MBA, Chef, Titres à revenu fixe et marché monétaire, Gestion active des titres à revenu fixe

Lire la biographie

Matt Montemurro

Chef, FINB de titres à revenu fixe et d’actions, Fonds négociés en bourse

Lire la biographie

Les taux d’intérêt remontent le temps et ramènent les investisseurs à une autre époque. Nous examinons l’évolution du contexte des titres à revenu fixe pour comparer le passé au présent et pour déterminer où ce changement de paradigme pourrait mener les marchés en 2024.


Passé : la chute des taux et des titres à revenu fixe

MM Pendant bien plus d’une décennie, entre la grande crise économique et 2022, de nombreux investisseurs en sont venus à considérer le contexte de faibles taux d’intérêt comme la norme. Toutefois, la banque centrale a maintenu des conditions monétaires accommodantes grâce à deux mécanismes : une politique monétaire de taux nul (ZIRP) et un assouplissement quantitatif (AQ). Le marché était difficile pour les investisseurs axés sur le rendement, ce qui est très différent de ce que nous observons aujourd’hui. À l’époque, les titres à revenu fixe ne procuraient pas de revenu et, par conséquent, les investisseurs devaient assumer un risque accru de duration (et de crédit) pour obtenir un rendement. Dans le marché actuel, nous prévoyons une reprise des titres à revenu fixe, où le taux d’intérêt sans risque est de 5 %1 et où les investisseurs peuvent générer encore plus de rendement à court terme. La levée des politiques accommodantes auxquelles nous nous étions habitués au cours de la dernière décennie a révélé un environnement de taux plus conforme aux normes historiques.

ED Je suis d’accord. Les particuliers détiennent généralement des titres à revenu fixe pour deux raisons. La première est liée au rendement, le revenu qu’ils tirent du coupon d’obligation, et la seconde est liée aux gains en capital, qui ont historiquement fait contrepoids aux actions. Supposons, par exemple, qu’il y ait une liquidation des actions. Par le passé, les titres à revenu fixe se redressaient souvent dans ce scénario, procurant un gain en capital — une hausse pour compenser la chute ou la perte en capital, des actions. Lorsque les taux d’intérêt ont chuté en 2009, cette thèse sous-jacente a changé. Pour obtenir un rendement, il fallait prendre des risques supplémentaires en optant soit pour un rendement élevé, soit pour un crédit privé. Les investisseurs en titres à revenu fixe ont dû abaisser la courbe de crédit ou se retrouver dans une position d’illiquidité accrue pour offrir un rendement plus élevé à leurs clients, une dynamique qui a persisté jusqu’aux dernier souffle de la pandémie. Mais aujourd’hui, tout a changé.


Présent : faire en sorte que les titres à « revenu fixe » génèrent du « revenu »

MM Maintenant, les taux d’intérêt sont remontés, et nous entrons dans une période où les titres à revenu fixe font leur retour. Ce changement de paradigme a fait en sorte que même les obligations à court terme génèrent un rendement sain, et nous assistons présentement à ce que l’on qualifierait de véritable normalité. Dans ce contexte réel, les titres à revenu fixe jouent à nouveau leur rôle, tant pour la constitution de portefeuilles que comme placement autonome.

ED En effet, la hausse des rendements au cours des deux dernières années est presque historique à certains égards. Toutefois, je dirais que les difficultés à court terme causées par les récentes pertes en matière de titres à revenu fixe se transforment maintenant en une occasion de gains à long terme. Nous observons actuellement les rendements les plus élevés que l’on prévoit obtenir pour les obligations à 10 ans depuis 20072. C’est une excellente chose pour les retraités ou pour toute personne en quête de revenus. Voici pourquoi : si vous déteniez l’obligation jusqu’à son échéance, elle arriverait à échéance au pair et vous accumuleriez le rendement au fil du temps. Bien que vous puissiez toujours subir une perte en capital si vous devez vendre l’obligation avant l’échéance, vous êtes désormais mieux protégé grâce à un rendement plus élevé qui vous permet d’amortir la performance, ce que vous pouvez faire sans descendre trop bas sur la courbe des rendements pour ce qui est de la duration.

MM C’est vrai. Compte tenu de la structure actuelle de la courbe des taux, qui est inversée, les gens ne sont pas indemnisés pour avoir pris des risques à long terme, et nous constatons un engorgement du côté des titres à court terme. Les gens se tournent vers des obligations de société à court terme, les liquidités et les solutions analogues. Plusieurs raisons expliquent ce choix. D’une part, les marchés obligataires et boursiers étaient fortement corrélés en 2022, ce qui a poussé les investisseurs à privilégier la partie initiale de la courbe (les obligations à long terme n’ayant pas servi de lest aux actions, étant donné que la suppression de l’assouplissement quantitatif a entraîné une hausse des rendements sur l’ensemble de la courbe). D’autre part, le taux d’intérêt sans risque est de 5,5 % aux États-Unis3 et de 5 % au Canada1. De nombreuses personnes ne voient pas l’intérêt de prendre des risques en ce moment, en particulier dans le contexte géopolitique actuel et la volatilité des taux d’intérêt.

Le retour à un taux plus normal permettrait aux titres à revenu fixe de surpasser les actions

À notre avis, les occasions se trouvent dans le crédit à court terme et le crédit de première qualité dans son ensemble. Prenons des domaines comme le rendement élevé, qui, selon moi, représente la catégorie d’actifs qui a le plus bénéficié d’un financement bon marché grâce à la politique monétaire de taux nul. Les titres de créance de première qualité sont maintenant en bonne posture, car les émetteurs ont des bilans plus durables et auront plus de facilité à refinancer à leurs taux d’intérêt actuels. Le BMO Fonds FNB obligations à très court terme, qui offre une exposition à un portefeuille diversifié composé principalement d’obligations de sociétés de première qualité dont l’échéance est inférieure à un an, est un moyen pour les investisseurs d’y avoir accès. Ce fonds pourrait éventuellement être utilisé comme fonds de trésorerie plus (cash-plus fund). Bien que celui-ci soit légèrement plus volatil qu’un fonds du marché monétaire, nous conservons les obligations jusqu’à l’échéance, où elles finissent toutes à leur valeur nominale, quelle que soit l’évolution des taux d’intérêt.

ED Pour répondre au point soulevé par Alfred, le rendement maximal actuel est probablement celui de votre obligation à un an. Par le passé, un investisseur recevait une prime de risque à terme, ce qui signifie que plus la période pendant laquelle l’argent était investi ou prêté était longue, plus le coupon qu’il obtenait était élevé. Ce n’est plus le cas depuis longtemps. Et avec l’inversion de la courbe de rendement, ce n’est pas le cas actuellement. Cela dit, la courbe commence à s’accentuer. Nous constatons un retour à des primes de risque plus normales aux États-Unis — plus l’obligation est longue, plus le rendement est élevé — , mais tant que cela ne se produit pas au Canada, nous nous attendons à ce que les gens continuent d’investir dans des obligations à duration plus courte.

Trois facteurs motivent la demande sur un an : le rendement maximal, la politique de la banque centrale et la volatilité. Tout d’abord, les investisseurs veulent un rendement immédiat. Le moment où les hausses de taux d’intérêt s’arrêteront est également incertain. Heureusement, nous y voyons plus clair et je pense que nous sommes plus proches de la fin que du début de la politique des banques centrales. Le troisième facteur est important : la volatilité des taux d’intérêt. Bien que les rendements à 10 ans deviennent plus attrayants, nous n’avons pas encore atteint un niveau qui nous permettrait de prolonger la duration. Nous avons besoin d’une période de calme sur le marché avant que les investisseurs ne commencent à optimiser et à maximiser le rendement généré au fil du temps en prolongeant la duration. Alors, vous vous demandez peut-être quel niveau il faudrait atteindre avant de commencer à prolonger la duration?

Historique du cours des obligations du Canada à 10 ans

Historique du cours des obligations du Canada à 10 ans

Source : Bloomberg, du 1ᵉʳ janvier 1988 au 2 novembre 2023.

Prenons l’histoire comme guide. Au 2 novembre 2023, le rendement d’une obligation à 10 ans était de 3,83 %. Le rendement moyen depuis 2000 est de 4,52 %. Lorsqu’il atteint ce niveau, il devient intéressant d’acheter, et lorsqu’il le dépasse, il faut envisager de passer des obligations à un an aux obligations à plus long terme (10 ans et plus).


Avenir : Perspectives sur les titres à revenu fixe

AL La situation finale dépend de l’évolution de l’inflation. Si le pire est derrière nous, les banques centrales pourraient assouplir leur politique monétaire. Mais il leur faudra des signes nets de recul de l’inflation avant de procéder à des baisses de taux, car les banques centrales estiment qu’il est plus sûr d’appliquer des mesures de rigueur excessives que de laisser subsister les braises de l’inflation. Si l’inflation recule, la volatilité des taux diminuera considérablement. Les baisses de taux d’intérêt actuellement prévues sur le marché risquent d’être écourtées au cours de l’année. À l’heure actuelle, les réductions massives des taux d’intérêt prévues par le marché n’ont pas nécessairement de sens, à moins que nous n’assistions à une pression désinflationniste massive. Le retour à un taux plus normal pourrait permettre aux titres à revenu fixe de surpasser les actions. N’oublions pas que les rendements atteignent des niveaux que nous n’avons pas vus depuis longtemps et qu’ils dureront probablement de 10 à 15 ans. Même si l’on s’attend à ce que les rendements annualisés à long terme soient de l’ordre de 9 % pour les actions, du point de vue du risque rajusté, les investisseurs pourraient chercher à surpondérer les titres à revenu fixe.

ED Nous prévoyons que les taux demeureront plus élevés plus longtemps. En même temps, nous sommes sur le point d’acheter des obligations à plus long terme, et je vais vous expliquer pourquoi. Pour la petite histoire, c’est la première fois en Amérique du Nord que, si l’année devait se terminer aujourd’hui, nous aurions connu trois années consécutives de baisses pour les titres à revenu fixe. Il serait donc raisonnable de s’attendre à une reprise l’année prochaine. Mais les investisseurs sont naturellement nerveux en raison de la récente volatilité des taux d’intérêt, et c’est pourquoi nous nous tournons vers une mesure quantitative appelée marge de sécurité, une mesure qui peut rassurer les investisseurs dans des marchés chaotiques.

Essentiellement, si les taux d’intérêt augmentaient de 100 pb du jour au lendemain, combien de temps faudrait-il pour récupérer cette perte en conservant votre portefeuille? Le tableau ci-dessous illustre ce qui se produirait, comme l’indique la « période de récupération », si le placement était conservé.

Prenons l’exemple du BMO Fonds d’obligations de base Plus : si les taux d’intérêt augmentaient soudainement de 100 pb, le prix des obligations baisserait de 6,1 % et le rendement à l’échéance passerait de 5,40 % à 6,40 %. En un an, la situation se traduirait par un rendement total de 0 %, et il faudrait un an pour récupérer cette perte.

La situation est différente dans le cas du BMO Fonds hypothécaire et de revenu à court terme. Dans le même exemple, une hausse soudaine de 100 pb entraînerait une baisse de seulement 2,5 % du prix des obligations et un rendement à échéance de 6,5 %, soit un rendement positif de 3,8 %. De plus, il ne faudrait que quatre mois pour récupérer le rendement perdu en raison du choc instantané des taux. C’est l’avantage des obligations à plus haut rendement et à plus court terme.

Le chiffre correspondant à la période de récupération est ce que nous appelons la marge de sécurité. En 2021, la marge de sécurité du BMO Fonds d’obligations de base Plus était de 2,6 ans. Lorsque ce chiffre est inférieur à un an, nous nous sentons de plus en plus à l’aise, car il indique la facilité relative avec laquelle nous pourrions récupérer les rendements perdus. Une période de récupération inférieure à un an est donc le catalyseur qui nous permet de prolonger la duration, car elle permettrait à un gestionnaire de résister à un choc de 100 pb tout en obtenant probablement un rendement positif. Plus les rendements augmentent, plus la période de récupération diminue, et après plusieurs années difficiles pour les investisseurs en titres à revenu fixe, ce niveau de protection est convaincant.


Veuillez communiquer avec votre
représentant des ventes BMO Gestion mondiale d’actifs pour obtenir de l’aide et des conseils supplémentaires.

Fourni à des fins d’illustration. Selon les chiffres et les calculs présentés dans le tableau, la courbe de rendement présente un déplacement parallèle, tandis que les écarts de taux ne subissent aucune variation. Le rendement à l’échéance et la duration (années) sont en date du 24 octobre 2023. Le rendement total et la période de récupération sont calculés au moyen de rendements composés.

RÉSERVÉ À L’USAGE DES CONSEILLERS.

Cette communication ne peut être reproduite ou transmise aux clients dans la mesure où elle pourrait ne pas répondre aux exigences de la communication commerciale.

Tout énoncé qui dépend nécessairement d’événements futurs peut constituer un énoncé prospectif. Les énoncés prospectifs ne constituent pas des garanties de rendement. Ils comportent des risques, des incertitudes et des hypothèses. Bien que ces énoncés soient fondés sur des hypothèses considérées comme raisonnables, rien ne garantit que les résultats réels ne différeront pas significativement des résultats attendus. L’investisseur ne devrait pas s’y fier indûment. En ce qui concerne tout énoncé prospectif, l’investisseur devrait examiner attentivement les facteurs de risque décrits dans le plus récent prospectus simplifié.

Les renseignements contenus dans les présentes sont fournis à titre informatif. Ils ne constituent pas, et ne doivent pas être interprétés comme constituant des conseils sur les placements, la fiscalité ou les aspects juridiques. Les placements doivent être évalués en fonction des objectifs de placement personnels de l’investisseur qui doit pouvoir bénéficier de conseils professionnels en toute circonstance.

Les titres du portefeuille peuvent changer sans préavis et ne représentent qu’un faible pourcentage des titres en portefeuille. Ils ne constituent pas une recommandation d’achat ou de vente d’un titre particulier.

Les opinions exprimées par le gestionnaire de portefeuille représentent son évaluation des marchés au moment de la publication. Ces opinions peuvent changer en tout temps et sans préavis. Les renseignements fournis dans le présent document ne constituent pas une sollicitation d’offre d’achat ni une offre de vente de titres et ne doivent pas être considérés comme constituant des conseils en matière de placement. Le rendement passé n’est pas garant des résultats futurs. Cette communication est fournie à titre informatif seulement.

Elle ne renferme aucun conseil sur les placements ou conseil sur les impôts, et ne doit pas être interprétée comme renfermant de tels conseils. Les placements ou les stratégies de négociation doivent être évalués en tenant compte de la situation particulière de chaque personne. Les particuliers devraient consulter des professionnels, au besoin, au sujet de tout placement précis.

Les placements dans des fonds d’investissement et dans les fonds négociés en bourse peuvent donner lieu à des commissions, à des frais de gestion et à d’autres frais (le cas échéant). Des commissions de suivi pourraient être associées à un placement dans un fonds d’investissement. Veuillez lire l’aperçu du fonds, l’aperçu du FNB ou le prospectus du fonds d’investissement ou du FNB pertinent avant d’investir. Les fonds d’investissement et les FNB ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et leur rendement passé n’est pas nécessairement indicatif de leur rendement futur.

Pour obtenir un sommaire des risques associés à un placement dans les fonds d’investissement BMO ou dans les FNB BMO, veuillez vous reporter au prospectus du fonds d’investissement ou du FNB en question. Les FNB BMO se négocient comme des actions, leur valeur marchande fluctue et ils peuvent se négocier à escompte par rapport à leur valeur liquidative, ce qui peut accroître le risque de perte. Les distributions ne sont pas garanties et peuvent être modifiées ou éliminées.

Les fonds d’investissement BMO sont offerts par BMO Investissements inc., un cabinet de services financiers et une entité distincte de la Banque de Montréal. Les FNB BMO sont gérés et administrés par BMO Gestion d’actifs inc., une société de gestion de fonds d’investissement et de gestion de portefeuille et une entité juridique distincte de la Banque de Montréal.

BMO Gestion mondiale d’actifs est une marque de commerce qui englobe BMO Gestion d’actifs inc. et BMO Investissements inc.

MD/MC Marques déposées/marque de commerce de la Banque de Montréal, utilisées sous licence.

Suivez-nous

* Par rapport à un placement qui génère un montant équivalent de revenus d’intérêts.

MD/MC Marque de commerce déposée/marque de commerce de la Banque de Montréal, utilisée sous licence.

BMO Gestion mondiale d’actifs est une marque de commerce sous laquelle BMO Gestion d’actifs inc. et BMO Investissements Inc. exercent leurs activités. Certains des produits et services offerts sous le nom BMO Gestion mondiale d’actifs sont conçus spécifiquement pour différentes catégories d’investisseurs issus d’un certain nombre de pays et de régions, et peuvent ne pas être accessibles à tous les investisseurs. Les produits et les services sont offerts seulement aux investisseurs des pays et des régions où les lois et règlements applicables l’autorisent. BMO Groupe financier est une marque de service de la Banque de Montréal (BMO).

Les FNB BMO sont gérés et administrés par BMO Gestion d'actifs inc., une société de gestion de fonds d'investissement et de gestion de portefeuille et une entité juridique distincte de la Banque de Montréal. Les placements dans des fonds négociés en bourse peuvent comporter des frais de courtage, des frais de gestion et d'autres frais. Veuillez lire le prospectus avant d'investir.

Les fonds négociés en bourse ne sont pas garantis, leur valeur fluctue fréquemment et leur rendement passé n'est pas indicatif de leur rendement futur.

Les fonds d'investissement BMO sont gérés par BMO Investissements Inc., une société de gestion de fonds d'investissement et une entité juridique distincte de la Banque de Montréal.

Les placements dans les fonds d'investissement peuvent être assortis de commissions, de commissions de suivi (le cas échéant), de frais de gestion et d'autres frais. Veuillez lire l'Aperçu du FNB, l'Aperçu du fonds ou le prospectus du fonds d'investissement pertinent avant d'investir. Les fonds d'investissement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue fréquemment, et leur rendement passé n'est pas indicatif de leur rendement futur.

Pour connaître les risques liés à un placement dans les fonds d'investissement BMO, veuillez consulter les risques spécifiques énoncés dans le prospectus. La série FNB s'échange comme des actions, peut se négocier à escompte à sa valeur liquidative et sa valeur marchande fluctue, ce qui peut augmenter le risque de perte. Les distributions ne sont pas garanties et sont susceptibles d'être changées ou éliminées.

BMO Société d’assurance-vie est l’émetteur du contrat d’assurance individuel à capital variable des fonds distincts de BMO dont il est question dans la notice explicative et le garant des dispositions de garantie qui y sont énoncées. La notice explicative du FPG de BMO et les dispositions de la police donnent tous les détails et ont préséance dans tous les cas. Les produits de FPG de BMO sont offerts par l’intermédiaire de BMO Assurance-vie, une entité juridique distincte de BMO Gestion mondiale d’actifs détenue en propriété exclusive par BMO Groupe financier. Les fonds distincts sont offerts à la vente par des personnes détenant les permis d’assurance appropriés seulement et ne sont pas considérés comme des fonds d’investissement. Les frais des fonds distincts sont plus élevés que ceux des fonds d’investissement, car ils comprennent des frais d’assurance pour garantir les dépôts à l’échéance ou au décès.

Clause de non-responsabilité

Ces renseignements sont uniquement destinés aux conseillers en placement. En acceptant, vous attestez que vous êtes un conseiller en placement. Si vous n’êtes PAS un conseiller en placement, veuillez ne pas poursuivre et consulter le contenu des sections du site destinées aux investisseurs ou aux investisseurs institutionnels. Le site Web a été conçu uniquement dans le but d’informer et non de présenter une description complète des produits ou des services de BMO Gestion mondiale d’actifs. Le rendement passé n’est pas indicatif des rendements futurs. Les renseignements contenus dans ce site ne visent aucunement à donner des conseils de placement et ne doivent pas servir de fondement à des décisions de placement. Les produits et les services de BMO Gestion mondiale d’actifs ne sont offerts que dans des territoires où ils peuvent être légalement vendus. Les renseignements contenus dans ce site Web ne constituent pas un acte de sollicitation de la part de qui que ce soit en vue de l’achat ou de la vente de fonds d’investissement ou d’un autre produit, service ou renseignement à toute personne résidant dans tout territoire où un tel acte de sollicitation n’est pas autorisé ou ne peut être effectué légalement, ou à toute personne à qui il est illégal de faire une telle sollicitation. Tous les produits et services sont assujettis aux modalités de chaque convention applicable. Il est important de noter que tous les produits, services et renseignements ne sont pas offerts dans tous les territoires à l’extérieur du Canada.